C’est son film « Winter Sleep », jugé élitiste par la majorité des critiques, qui a obtenu la récompense suprême, la très convoitée Palme d’Or !
A l’occasion de la 67e édition, ce mythique trophée, façonné dans les ateliers Chopard depuis 1998, s’est paré d’un éclat inédit puisqu’il était pour la première fois réalisé en or certifié « Fairmined ». Cette innovation entre dans le cadre d’une démarche initiée par Chopard lors du 66e Festival de Cannes visant à favoriser l’essor du développement durable dans le domaine du luxe.
Emblème incontesté de l’événement cinématographique le plus glamour de la planète, la Palme d’Or est aussi le symbole de la relation exceptionnelle qui unit le joaillier suisse au Festival de Cannes. Redessiné en 1998 par Caroline Scheufele à la demande de Pierre Viot, alors Président de la manifestation, le trophée dans sa nouvelle interprétation marquait en effet le début d’un partenariat qui n’a cessé de se renforcer au fil des années. En l’agrémentant aujourd’hui d’une vertu éco-responsable, Chopard et le Festival de Cannes écrivent une nouvelle page de leur histoire commune et affirment haut et fort leur volonté d’œuvrer pour un luxe citoyen et respectueux de l’environnement.
La réalisation d’un trophée aussi prestigieux en or « Fairmined » marque une étape fondamentale dans le « Voyage » de Chopard. Pour la première fois, la Palme d’Or représente non seulement le meilleur de la production cinématographique, mais aussi le meilleur de la production aurifère. Caroline Scheufele a d’ailleurs déclaré à ce sujet: « Je suis très heureuse et fière que la Palme d’Or que j’ai redessinée il y a 16 ans puisse aujourd’hui bénéficier d’un or traçable, extrait dans le respect des hommes et de l’environnement ».
Thierry Frémaux, délégué général du Festival de Cannes, est également ravi: « Le Festival de Cannes représente depuis toujours le plus haut niveau d’excellence dans le domaine du 7e art. Par conséquent, nous sommes très heureux que Chopard, l’un des principaux sponsors du Festival depuis 17 ans, réalise la Palme d’Or 2014, la récompense la plus prestigieuse de l’industrie cinématographique internationale, à partir d’or « Fairmined ». Cet or représente la norme la plus exigeante sur le marché de l’or aujourd’hui et ajoute un prestige incomparable à la Palme d’Or du Festival de Cannes ».
« Nous sommes ravis de cette première mondiale se félicite quant à elle Livia Firth, fondatrice et directrice artistique d’Eco-Age. Grâce à Chopard, l’or « Fairmined » pénètre le monde du cinéma à travers l’un de ses symboles les plus forts, la Palme d’Or. Une fois encore, la Maison Chopard montre qu’elle est à pointe du développement durable dans l’univers du luxe ».
En liant l’or « Fairmined » et le monde du septième art, Chopard invite le luxe durable sur la scène internationale et met en lumière l’importance des compétences artisanales au tout début de la chaîne d’approvisionnement.
Pour rappel, l’or « Fairmined » est un or équitable, extrait par des exploitations artisanales, certifiées « Fairmined ». Ce label garantit un strict respect des règles de développement économique, social et environnemental lors de l’extraction.
Dans le cadre de son « voyage », Chopard s’est rapproché de l’ONG sud-américaine ARM (Alliance for Responsible Mining) afin d’aider les communautés minières d’Amérique Latine à obtenir ce précieux certificat « Fairmined ». Première entreprise du secteur de l’horlogerie-joaillerie de luxe à agir en faveur des mineurs, la marque suisse contribue à améliorer leurs conditions de vie en leur assurant une sécurité sociale, un accès à l’éducation et à la formation tout en protégeant leurs ressources naturelles et leur habitat. La certification permettra à ces exploitations d’aborder le marché de manière régulière et de bénéficier d’un prix juste lors de la vente de l’or.
Bravo donc à Chopard pour cette magnifique initiative et à Nuri Bilge Ceylan qui a eu l’honneur de gagner cette première Palme d’Or « Fairmined ». Et à l’année prochaine !