Retour sur le dîner de gala de la Fondation Casip-Cojasor à l’hôtel Salomon de Rothschild en présence de Natalie Portman.
Contre l’obscurantisme, la plus belle des réponses reste la connaissance. Le 7 décembre dernier, Natalie Portman, présente au gala de la Fondation Casip-Cojasor en l’hôtel Salomon de Rothschild, s’est vue remettre la première édition du journal d’Anne Frank, que l’actrice a incarné à seize ans, et qui, dit-elle, « continue de l’habiter ».
« Il n’y a pas de hasard, tout est rendez-vous » a écrit Paul Eluard. Anne Frank a commencé son journal, un 7 décembre. C’était en 1942, Aujourd’hui, le récit de cette enfant radieuse qui rêvait de devenir écrivain est devenu l’ouvrage le plus vendu dans le monde après la bible. Alors que s’allumait la seconde bougie de Hanoucca, le Grand Rabin Olivier Kaufman a rappelé au cénacle qu’Hanoucca signifie éducation. Faire naître la flamme du savoir demeure la seule arme contre l’indicible ; en écho, partout dans le monde, des milliers de veilleuses rappellent à notre mémoire que la barbarie, malheureusement intemporelle et universelle ne passera pas.
Contre elle, et pour l’amour de l’Humain, les grands donateurs réunis sous la houlette du Président Eric de Rothschild et de la Directrice de la Fondation, Karêne Fredj, ont offert plus de 400 000 euros pour que continuent de se construire des maisons de la culture, des hôtels sociaux, des haltes-garderies, des dispensaires, des établissements de soin destinés aux adultes en situation de handicap mental comme aux personnes âgées atteints de la maladie d’Alzheimer.
Au programme des réflexions et des projets nés sous la bonne étoile du Casip-Cojasor, l’emploi des jeunes et des séniors ainsi que la création prochaine d’une agence sociale immobilière.
Une constellation d’initiatives pour que nos prières et nos vœux d’un monde de paix, de justice et d’équité soient exhaussées.
